le blaze : joe le taxi, orz depuis : 29/05/2016 bullsheit : 180 points : 722
# toi, moi et tes parents (joshua) - Jeu 11 Aoû - 23:57
toi, moi et tes parents feat. joshua bae sadaaki
tenue ☾ c'est presque inhabituel qu'on te mêle à une affaire plutôt tangible. et cette fois-ci tu y plonges avec grand sourire, plaçant à l'écart toute la peur que tu pourrais être apeuré. c'est assez susceptible mais que t'importe tant que ta route se fait avec joshua. comme si tout ton être s'est accommodé à cette relation pourtant juvénile, tu te retournes pour l'observer avant qu'il ne vienne à ta hauteur pour que tu puisse amoureusement l'embrasser. j'ai l'impression que c'est le grand départ, non? tes doigts taquinent un peu le ventre de ton amant. tu le lui tapote gardant une certaine mesure infime de vos deux corps. tes yeux deviennent plus joueurs car même si tu sais qu'à ce moment précis tu dois, indéniablement commencer à t'effrayer, il te tarde de découvrir le visage de ces deux êtres qui t'ont été si généreux de pouvoir te donner un petit-ami tel que joshua. en fait et si l'on doit avouer ta seule peur que tu mène depuis que le danseur t'a avoué la grande nouvelle de cette rencontre, c'est plus en rapport à ton mensonge. celui que tu traînes depuis votre rencontre et surtout que tu nourris involontairement au fur et à mesure que votre relation né sous un autre lendemain. tu deviens de moins en moins tactile mais arrive à te dépatouiller de tes tremblements en te frottant les mains sur ton jean et fais le tour de la voiture pour t'installer au passager. pendant la route, tu questionnes rapidement joshua sur les éventuelles choses que tu dois connaitre ou déjà savoir. alors, tu t'arrêtes à une question en glissant tes yeux vers son visage. et ils sont tous content de te savoir en couple? j'veux dire.... avec un gars? ton regard continue de le questionner, l'observer dans les moindres détails croyant que de part ses gestes tu arriveras à comprendre la réponse sans qu'il ne réponde quoique ce soit. avant de pivoter ta tête vers le paysage rapide que cause la voiture, tu soupire de toute façon personne ne déteste shinzô. et puis tu tentes de te rassurer comme tu peux. c'est étrange mais tout d'un coup, la peur te submerge. au fur et à mesure que vous vous éloignez de la maison. (...) une fois arrivé, tu t'observe dans le rétroviseur que tu ajuste sur toi une fois les freins crissants et le moteur s'éteignant. arrangeant ta coiffure rosée et ta tenue où tu as clairement levé le pied pour l'excentricité, tu souffle. ils ont pas intérêt a dire quoique ce soit sur ma tenue parce que franchement.... j'ai fait un putain d'effort. genre j'suis trop fière de moi, sa mère. tu lui souris en l'embrassant avant de sortir de la voiture, ce petit habitacle qui, au final, te prenait tout ton énergie et ta confiance. patiemment, tu attends que joshua te passe devant pour suivre ses pas et les imiter sans faute. on s'croirait aux montagnes russes ; soit je gerbe dans la plante soit je ris comme un porc parce que y a trop de malaise en moi. tu secoue ta main devant toi en tournant le dos à la porte dès que tu entends le bruit de la sonnerie qui retentit.
Sadaaki Joshua
like a virgin (jf)
le blaze : noctis caelum. (reiko) orz depuis : 22/07/2016 bullsheit : 39 points : 249 date de naissance : 14/12/1991
# Re: toi, moi et tes parents (joshua) - Ven 12 Aoû - 1:03
toi, moi et tes parents feat. aomine bb shinzô
tenue&cheveux ☾ j'ai l'impression que c'est le grand départ, non? toi, t'as plutôt l'impression d'être au bout d'ta vie. parce que tu vas devoir supporter ta famille mais en plus aux côtés de ton petit-ami. lui faire subir ça ... ah. qu'elle idée d'merde qu'avais eus ta chère et tendre mère. tu n'avais pas pu lui refuser cela, au risque de la blesser encore une fois par t'es absences à répétitions non justifiées. elle voulait connaître un morceau de ta vie, elle voulait connaître ce qui visiblement faisait ton bonheur à ses yeux -et l'on dit, qu'une mère ne se trompe jamais. rien que le fait de devoir voir ton père -respirer le même air que lui, être assis en face de lui (car aîné de la famille), devoir supporter là, son regard incessant et inquisiteur alors que tu ne rêve que d'une seule chose : lui faire goûter t'es belles phalanges. par respect pour ta génitrice tu n'es jamais aller jusque là, et fort heureusement. alors pour dire, grand départ, tu ne relèves pas sa phrase, parce que cela te semble inutile. oui toi, grand con qui pense que l'on t'a donné la parole pour faire joli. alors en guise de réponse à ses petits gestes, tu l'embrasses naturellement, avec douceur, avant de grimper dans ton véhicule. tu étais taciturne aujourd'hui -plus que d'habitude (et oui c'était possible) parce que cela te dégoûtais clairement. et ils sont tous content de te savoir en couple? j'veux dire.... avec un gars? tu souris ironiquement. quoi lui dire ? bah. la vérité. un sur trois, on part gagnants non ? ne pas oublier le petit frère... dont joshua n'avait sûrement jamais mentionné le prénom, ou rarement du moins. mon cadet sera là. (...) et le désespoir te voilà. tu te gares devant la grande propriété de t'es parents -qui ne t'as au passage absolument pas manquée, après avoir passé le grand portail noir. ils ont pas intérêt a dire quoique ce soit sur ma tenue parce que franchement.... j'ai fait un putain d'effort. genre j'suis trop fière de moi, sa mère. c'est dans ce genre de moment que tu ne sais pas si tu dois rire, si tu dois sourire ou... juste pleurer. en fin de compte tu ris légèrement, parce qu'il est là et que c'est sûrement le plus important dans toute cette histoire. qu'il te suit ... même jusqu'à la mort. ne t'inquiète pas. marchant jusqu'à la porte d'entrée, tu lèves alors nonchalamment ton bras, appuyant sur la sonnette. c'était chez toi. mais tu ne rentrais jamais normalement. on s'croirait aux montagnes russes ; soit je gerbe dans la plante soit je ris comme un porc parce que y a trop de malaise en moi. t'as envie d'pleurer cette fois-ci, puis tu te tournes légèrement et tu le vois de dos. tu lui attrapes les épaules, le remettant bien. si tu veux gerber le fait pas dans les plantes, ma mère va t'arracher les yeux si t'y touche. tout va bien s'passer, arrête de stresser. ne t'adresse pas à mon père -de toute manière tu ne le feras pas. comporte toi normalement avec ma mère mais pas de vulgarité elle ne supporte pas ça et mon frère... tu souris ça lui suffit. briefing passé, assez de temps avant que la porte ne s'ouvre enfin. ta mère, munit d'un sourire agréable. cela se voyait, qu'elle était heureuse. elle se jette alors dans t'es bras... comme elle le put, avec t'es grandes perches. joshua, enfin tu es là. elle te sert fort. toi... tu as juste ta main droite posée dans son dos. mais oui maman. rien de plus, rien de moins. mais tu es quand même content de la voir. elle, et son sourire dont tu as hérité. elle te lâche, elle se redresse et pose enfin son regard sur ta moitié. shinzô. je suis heureuse d'enfin te rencontrer. et merci, parce que si tu n'avais pas été là jamais il n'aurait daigné se bouger pour venir voir sa mère. allez hop, mange toi ça dans les dents fils indigne que tu es. plaisanterie, elle le prend doucereusement dans ses bras, quelques secondes. chaleureuse, elle s'écarte ensuite de l'entrée. entrez, entrez. -surtout shinzô ne soit pas gêné, décontracte toi ! lui souriant de nouveau, tu la vois vous précéder un peu. toi, cette putain d'baraque te rappel juste ton enfance merdique. tu fais quelques pas dans le hall et c'est là, que tu le vois. lui. descendre des escaliers en marbres ; dans son costard habituel -homme trop ponctuel et froid. shinzô, je te présente mon époux, kazuya. rien que son prénom, t'as envie d'lui vomir à la gueule. vous vous toisez, il ne regarde pas le plus jeune pour le moment... parce que vous vous fixez. provocation pure et simple, coupée par le petit dernier de la famille qui arrive -guilleret. ah bah pour venir manger tu peux bouger, mais pour mon anniversaire c'est trop te d'mander hein. -bonjour shinzô. enchanté. j'm'appel noah. cynisme dont le plus jeune savait jouer... un sourire, pour les présentations. ferme la. ton regard n'a pas bougé de sur ton géniteur qui lui regardait le petit rosé. tu sais ce qu'il pense, alors tu poses légèrement ta main dans le dos de ce dernier afin de le faire avancer, lui indiquant de suivre ta mère. tu lui murmure alors. focalise toi sur ma mère.
Aomine Shinzô
james franco
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# Re: toi, moi et tes parents (joshua) - Ven 12 Aoû - 1:36
toi, moi et tes parents feat. joshua bae sadaaki
tenue ☾ quand on prévoit une rencontre avec la famille de sa moitié, on voit le décor comme un ring et les participants comme des adversaires mais une seule détient le rôle d'arbitre. aujourd'hui ce rôle de prime abord dénué de mesquinerie, est détenu par la mère de joshua. toi qui n'aime pas le contact physique, tu t'en acquittes dès lors où elle t'enlace chaleureusement. et tu avances dans l'arène en côtoyant le souvenir qu'à était le quotidien de ton amant. tu salut d'une courbette le maitre de maison et lève ta main pour saluer le plus jeune de la famille d'après les dires de ton vis-à-vis. tu gardes un œil sur lui et te sens soudainement soucieux de le savoir si fermé. tes yeux s'assombrissent de question quand tu observe joshua mais te ressaisit quand sa main s'appuie à ton dos. appliquant à la perfection ce qu'il te guide de faire, tu avances en n'oubliant pas de sourire au frère. son entrée en matière est plutôt atypique mais tu es très mal placé pour parler. alors la meilleure solution est de se taire, n'est-ce pas? non loin de l'envie qui te mesure, tu rêves de pouvoir jeter un jargon qui t'es propre quand tu vois la petite table dressée. accompagnant des amuses-gueules, des verres et leur boissons à côté. attendant patiemment que joshua s'asseye, tu fais de même en glissant ta main sur sa cuisse comme à ton habitude. croisant les jambes vers celle de ton petit-ami, tu regardes un peu autour où seuls tes yeux seront les paroles de tes émotions. superbe maison. et savoir que la petite bouille de ton cher et tendre s'est retrouvé de nombreuse fois ici te met du baume au coeur. au final, tout ça et bien sérieux. attendant l'arrivée de la mère, tu te décide à lui faire part que tu sais parler et même aligner quelques mots. en tout cas vous avez une superbe maison. c'est trop mignon! tu es l'enfant d'un grand chef d'aviation et une mère baignant dans la bourgeoisie depuis toute petite seulement tu es aussi le dernier de la famille donc les formules de politesses tu les as passer par la fenêtre alors tu pries qu'ils soient indulgents quant à ton dialogue sans doute un peu sec. néanmoins ton jeune âge peut être un alibi à ton insouciance. le décor, la courtoisie, les amuses-gueules et les boissons, tout ça c'est bien merveilleux et il est clair que cela pourrait détendre l'atmosphère seulement l'aura du père, ce kazuya, est tellement négative que cela t'empêche de te concentrer totalement sur la mère comme ton amant te l'a prescrit. bon eh bien moi vous devez tous vous en doutez c'est shinzô et le petit-ami de joshua et euh... c'est plutôt cool d'avoir accepté de nous recevoir chez vous en tout cas. enfin.... d'avoir eu l'idée qu'on se voit parce que c'est vrai que ça fait un petit moment qu'on se connaît joshua et moi un moment donné il faut aussi rencontrer la famille. et ton discours maladroit s'agrémente de quelques sourires et regards que tu lance à chaque membre de cette maison avant de tomber sur ton reflet. en soupirant discrètement tu espères n'avoir pas trop émit une certaine gêne ou autre. en caressant doucement la cuisse de joshua tu remercie la mère de vous servir et attrape le verre pour le passer à ton amant. tiens bébé, ton verre. tu le laisse vous effleurer un moment avant de lui sourire et de prendre le tiens de verre.
Sadaaki Joshua
like a virgin (jf)
le blaze : noctis caelum. (reiko) orz depuis : 22/07/2016 bullsheit : 39 points : 249 date de naissance : 14/12/1991
# Re: toi, moi et tes parents (joshua) - Sam 13 Aoû - 0:20
toi, moi et tes parents feat. aomine bb shinzô
tenue&cheveux ☾ tu désespères déjà, de ce qui peut t'attendre tout au long de ce repas -de cet instant passé aux côtés de ta famille. regroupement de personne que tu n'as jamais considéré comme, car seul ta génitrice compte réellement à t'es yeux. ton cadet n'a jamais été autorisé à t'avoir, tu n'as jamais eus l'occasion de nouer, avec lui. alors la peine c'est envolée depuis longtemps maintenant -les yeux ouverts tu les gardera sur la stupidité humaine, de celle qui t'entoure et qui accable ces murs. en attendant, te voilà assis à côté de shinzô et grand dieu, que tu étais soulagé de le savoir là, malgré le stresse qu'il doit subir. tu le sent, empathique avec ta moitié... tu espères juste qu'il laissera en paix la verdure de ta chère et tendre -que tu vois d'ailleurs s'éclipser dans la cuisine l'espace d'un instant. en tout cas vous avez une superbe maison. c'est trop mignon! effort d'élocution que tu remarques malgré l'innocence introduite en cette fin de phrase, sans vulgarité aucune, ce qui te fait légèrement sourire. ta mère reviens en riant légèrement, sincère. je suis heureuse qu'elle te plaise shinzô. je te ferais visiter après, tu verras ! t'es pupilles se rétractes un peu, tu la fixe. tu sais très bien -mieux que quiconque la connaissant, qu'elle avait déjà calculer son coup. qu'elle voulait se retrouver seule, avec lui. parce qu'elle était celle qui t'a mis au monde et tu étais sûrement en cette demeure, le seul à la connaître, même dans ses pensées les plus personnelles. bon eh bien moi vous devez tous vous en doutez c'est shinzô et le petit-ami de joshua et euh... c'est plutôt cool d'avoir accepté de nous recevoir chez vous en tout cas. enfin.... d'avoir eu l'idée qu'on se voit parce que c'est vrai que ça fait un petit moment qu'on se connaît joshua et moi un moment donné il faut aussi rencontrer la famille. audacieux, ton petit-ami te surprends à moitié, lui, qui ne sait tenir sa langue. c'est vrai que ça fait un moment qu'on est au courant. mais on se demandait vraiment si on connaîtrait ton visage un jour. (...) enfin, avec lui de toute manière, on aurait toujours pu attendre. provocation fraternelle que tu ne supportes pas. habituelle, jamais tu ne daigneras lui montrer une quelconque soumission -toi l'aîné. je viendrais de mon plein gré le jour où tu auras des choses pertinentes à dire. fratrie incomprise et pourtant. tu sais très bien que s'il avait un quelconque problème, tu serais le premier à lui venir en aide. cela t'ai déjà arrivé. lors de son accident, c'est toi, qui l'a amené aux urgences, c'est toi, qui a veillé durant l'opération. c'est toi, qui a pleuré à son chevet. et c'est toi, qu'il a vu à son réveil. mais c'est avec vos retenues que ce genre d'instants s'oublis ; enfouis, peureux et désavantageux, pour l'un comme pour l'autre. parce que la voix de ton cadet reste dans ta tête, tu ne relèves pas vraiment la main de ton amant sur ta cuisse, qui pourtant, au plus grand malheur de ton père (et à l'intrigue de ta mère) ne passe pas inaperçue. tiens bébé, ton verre. tu le remercie d'un regard, comme à ton habitude. -ambres distinctives qui font de toi l'être muet mais passionné, elles retranscrivent t'es émotions, un peu trop à la perfection. et donc shinzô, je suis bien d'accord avec toi. te rencontrer, c'est un peu vivre la vie de mon fils et je t'en suis reconnaissante. c'est pourquoi, tu te doutes bien que je prendrais plaisir à te poser quelques questions ? j'aimerais apprendre à te connaître -à connaître, celui qui partage la vie de mon aîné. avec complaisance la voilà ta mère, son sourire radieux. alors que son époux -ton débile de père est incapable de rester fidèle à son image médiatique. il se lève, dans son silence habituel et quitte la pièce. toi, tu sent la colère monter. tu sent le dégoût et la haine -sentiments contrôlés par la voix de ta génitrice, qui ne se laisse pas dégonfler. excuse mon mari shinzô, il n'est ... pas habitué à ce genre de chose. -mais revenons en a nous. si une quelconque question te gêne n'hésite pas à me le dire, rester sans réponse ne me dérangera pas... ou un petit peu. malicieuse, plaisanterie agréable. elle est là pour lui et tu la remercie intérieurement. j'ai une proposition à te faire shinzô ! et tu la voix se lever -elle a toujours était aussi hyperactive. à l longue, c'est insupportable. viens avec moi. nous pourrons discuter. et puis comme ça. un petit blanc. elle regarde ses deux enfants. les deux grincheux se retrouveront. elle a encore l'espoir de vous voir vous serrer dans les bras, mutuellement avec amour. elle pourra toujours rêver. tu regardes shinzô, hochant simplement la tête pour lui faire comprendre qu'il ne craignait rien avec elle seule. ou alors, qu'il allait devoir s'accrocher. tu te lèves un peu après eux et tu attrapes délicatement sa hanche, embrassant sa tempe seulement, avant de le laisser filer avec elle.
_entrant dans le long couloir en lien avec le salon, elle marche paisiblement, alors que sur leur côté se trouve des vitres transparentes, laissant ainsi la vue sur le jardin intérieur, entretenu pour sa majorité par la mère elle-même. je tiens à m'excuser pour l'attitude de mon époux shinzô. je pense que mon fils à du t'en parler, ou ne serait-ce que vaguement. mais entre eux. elle ne termine pas sa phrase. trop soucieuse et au final, ce sujet la rend bien trop triste. mais suis-je bête. je ne me suis pas présentée. je m'appel Anna. tu peux m'appeler par mon prénom. le mettre à l'aise, sous son sourire protecteur. joshua, m'a vaguement parlé de toi. je ne te poserais pas les questions habituelles. ou du moins je le ferais mais plus tard. elle s'arrête. la voilà alors, comme joshua l'a toujours connu. un peu plus froide. sèche et droite. malgré son air, qui n'était pourtant pas méchant. juste, impressionnante. je suis sa mère shinzô. et je refuserais de le voir avec quelqu'un qui ne lui apporte pas bonheur. je pense que tu comprendras ma position, mais il est malgré notre distance trop important pour moi. je l'ai vu, te regarder. et tu as de la chance. jalousie naïve et mignonne. il t'aime énormément. mais est-ce ton cas.
Aomine Shinzô
james franco
le blaze : joe le taxi, orz depuis : 29/05/2016 bullsheit : 180 points : 722
# Re: toi, moi et tes parents (joshua) - Sam 13 Aoû - 1:09
toi, moi et tes parents feat. joshua bae sadaaki
tenue ☾ les taquineries des garçons te fait doucement penser à ta famille, ces fois où votre mère réussi enfin à vous réunir le temps d'un repas qui dure en général à peine trente minutes si tout se passe "convenablement". toi étant le dernier tu arrives toujours à t'embrouiller avec l'avant dernière, reira. non-diplomate qu'elle est ça te fait rire de la savoir sur la voie d'aspirer de devenir, un jour, l'emblème de la nation japonaise. la voix de la douce mère de joshua -dont tu rêves secrètement de la nommer par l'appellation de belle-maman- te réveille et en prenant une énième gorgée de la douce collation. ses recommandations et voir le père se lever te plonge dans l'incompréhension la plus totale. pourtant ce n'est pas comme si tu n'es pas familier à ce genre d'attitude ; ton père réagirais pareil en observant joshua avec sans doute du panache vulgaire dans le gosier. ton regard se concentre difficilement sur la mère, tu hoche la tête en laissant un long euuuh submerger la pièce quand tes yeux rencontrent ceux de joshua. le seul homme ici présent capable de te canaliser dans cette agitation, cette joute verbal dont tu es, malgré toi, le sujet. tu lui souris doucement et tournes ton visage vers la maîtresse de maison. hm c'est d'accord. de toute façon shinzô, ce n'est pas comme si tu as le choix... lançant un soupir discret, tu te laisse saisir par ton amant et caresse son bras qui maintient ta hanche, l'endroit où tu retrouve facilement sa main.
en suivant la femme de ces lieux, tu te contente de marcher silencieusement au dit lieu. au passage, tu observes partout. tu es comme submergé par autant de beauté et de décor si ravissant et accueillant au contraire de ses hôtes. et puis te voilà enfin à destination. de là se déploie l'attitude plus caractérielle et droit de la mère. tu sens par ses paroles son rôle de mère jouer mais aussi ses origines. il est évident que toute femme japonaise n'aurait jamais osé autant prendre la parole surtout dans un coin comme cela. tu te contentes d'hocher la tête, t'encaisse les paroles comme si tu te préparais à lui rétorquer une de tes plus belle phrase. mais c'est elle à nouveau de prend le dessus et anticipe chacune de tes supposés dires joshua, m'a vaguement parlé de toi. je ne te poserais pas les questions habituelles. ou du moins je le ferais mais plus tard. un sourire. on hoche la tête comme un parfait écolier. e suis sa mère shinzô. et je refuserais de le voir avec quelqu'un qui ne lui apporte pas bonheur. je pense que tu comprendras ma position, mais il est malgré notre distance trop important pour moi. je l'ai vu, te regarder. et tu as de la chance. il t'aime énormément. mais est-ce ton cas. quelque part ça te touche, les émotions s'en débordent sur tes joues que tu sens chauffer. nerveusement, ta main arrive derrière ta nuque que tu gratte assez rapidement. joshua, tu l'aimes, il n'y a aucun doute là dessus. c'est même tellement évident dans tes yeux. néanmoins, le déclarer à sa génitrice ainsi, sans préparation tu avoue que la tâche est plus rude qu'autre chose. comme vous devez le savoir... joshua et moi ça fait pas très longtemps qu'on se connaît... enfin je veux dire "vraiment". on sort ensemble et petit à petit on apprend à mieux se connaître. tout à coup, tu décuplé une certaine aisance. peut être est-ce son aura? le fait de ne t'être focalisé simplement sur elle t'aide sûrement à surmonter ton mal-être de ressentir les choses. tes mains partent aussi en débat en même temps que tes paroles. et de plus que j'apprends des choses sur lui, que je le vois vivre à côté de moi bah.... oui je l'aime de plus en plus. et croyez moi je suis très reconnaissant qu'il puisse m'aimer pareillement. surtout après tout ce que tu le fais subir oui. malgré les embûches que tu sèmes, inconsciemment ou pas, il reste à côté de toi à t'aimer encore. tu souris tristement en repensant à ton écart avant de te secouer doucement. désolé! mais pour répondre aussi à vos inquiétudes... je ne ferais rien qui pourrait nuire au bonheur de mon petit-ami. parce que oui, ça te plaît de répéter que l'homme dont la plus part des femmes ont voulu connaître est en fait ton mec.
Sadaaki Joshua
like a virgin (jf)
le blaze : noctis caelum. (reiko) orz depuis : 22/07/2016 bullsheit : 39 points : 249 date de naissance : 14/12/1991
# Re: toi, moi et tes parents (joshua) - Mar 16 Aoû - 19:02
toi, moi et tes parents feat. aomine bb shinzô
tenue&cheveux ☾ elle le regarde rougir, passer sa main dans sa nuque. cela l'amuse à moitié, car en cet instant elle lit en lui, malgré ses regards doux et bienveillant, voilà une femme bien trop forte pour se laisser berner. comme vous devez le savoir... joshua et moi ça fait pas très longtemps qu'on se connaît... enfin je veux dire "vraiment". on sort ensemble et petit à petit on apprend à mieux se connaître.[/b] elle hoche simplement la tête. elle écoute. sage. c'est son rôle de mère après tout, de savoir prêter oreille. et de plus que j'apprends des choses sur lui, que je le vois vivre à côté de moi bah.... oui je l'aime de plus en plus. et croyez moi je suis très reconnaissant qu'il puisse m'aimer pareillement. elle comprend. elle est attentive. mais elle voit des choses qu'elle ne devrait peut-être pas sous le peu de silence installé par le plus jeune. -qui aurait l'âge d'être son propre fils. désolé! mais pour répondre aussi à vos inquiétudes... je ne ferais rien qui pourrait nuire au bonheur de mon petit-ami. il utilise un diminutif vulgaire à l'encontre de ton statut. cela ne la gêne pas. elle, déjà bien faire à l'idée qu'il était à toi, tout autant que tu lui appartenait. alors elle soupire légèrement, ses bras croisés le restant... mais sous un air légèrement plus décontracté. très bien shinzô. j'espère alors que nous nous entendrons parfaitement. si tu as besoins de quoi que se soit n'hésite pas à venir me voir, ou même m'appeler ça ne me dérange pas. d'accord ? ____________________________________________________________
ce pauvre con se croit supérieur. et tu es là, assis à côté de ton frère. tu termines ton verre, naturellement en le posant sur la table basse. pourquoi tu viens plus joshua ? silence brisé par le plus jeune, stressé, attristé et colérique. tu tournes légèrement ton visage vers lui, ton bras posé sur l'accoudoir du canapé, t'es doigts tenant ta tête. tu le sais noah. le petit se crispe, par ton indifférence qu'il ne conçoit pas -ou plus du moins. qu'est-ce qui t'empêche de venir me voir ? juste moi ? et maman. elle aussi elle t'attend. si elle t'appelle pas tu l'fais jamais. si elle appelle pas on saurait même pas c'que tu fais d'ta vie, si tu vas bien. si t'es encore en vie. allusion à ton addiction, à t'es états seconds. tu soupires, parce que tu ne peux pas lui en vouloir de te faire des reproches. c'est ton rôle d'aîné, de prendre sur toi pour laisser le plus jeune déverser sa haine -qu'elle te soit attitrée ou non. tu n'acceptes même pas que j'te rende visite... un blanc qu'il met. sa phrase en suspens. et tu pourrais sentir son cœur battre dans sa poitrine de ta place. tu as mal, quelque part de devoir le faire souffrir de la sorte. parce que c'est de ta faute. c'est ce qu'il te dit. mais il ne connait pas l'histoire. pour lui tu es partis, tu t'es barré bien avant ta majorité en signe de rébellion, alors que c'est votre père qui t'a foutu dehors dans concession et sans que tu ai ton mot à dire. sous prétexte que t'es froissé avec papa tu nous renies tous ?! pourquoi t'es comme ça ? t'étais pas aussi con, avant. des mots trop durs pour une bouche si jeune. tu le regarde, et tu soupires de nouveau. il faudrait que tu lui parles. oui. il faudrait. noah. il t’interrompt par son regard. c'est à cause de moi c'est ça ? tu m'as jamais aimé de toute manière. j't'ai apporté qu'des merdes de toute manière. c'est compréhensible. t'es yeux deviennent un peu plus ronds. il se blâme à ta place. et tu n'accepteras jamais cela. parce que malgré votre trop grande distance, il est ton cadet. il est celui que tu as vus grandir, celui que tu as sauvé. et celui que tu n'as jamais cessé d'aimer. arrête. sec. froid. tu as toujours été ainsi. tu ne pourras pas changer. tu allais pour lui dire peut-être des mots rassurants, mais ton père sortit de son bureau. et ton sang se fige. t'as juste envie d'lui cracher d'ssus, mais il est bien trop occupé à venir chercher un autre dossier, avant de repartir dans sa grotte. tu n'acceptes pas son comportement. tu te lèves et tu fais comprendre à ton frère de l'attendre. alors, tu traverses le grand hall qui constitue ton salon, ouvrant la porte sans même t'annoncer. -provocation pure, qui s'accentue par ton sourire narquois. j'savais qu't'étais un enfoiré, mais alors jusque là. l'adulte le regarde. indigné, déjà parce que tu lui adresses la parole comme si de rien n'était, mais en plus, tu l'insultes ouvertement. je sais bien que tu ne m'accepteras pas. et que tu n'accepteras pas shinzô non plus. mais lui dans l'histoire n'y es pour rien. alors ravale ta face d'enculé juste pour le repas se sera bien. et j'pense aussi qu'ta pauvre femme en sera heureuse. -et t'inquiète. la prochaine fois, j'ramène une gay pride. sale enfoiré que tu fait. sur cela, tu ne lui laisse pas le temps de répondre, claquant vulgairement la porte. ton frère c'était levé, non loin de toi. tu n'as pas envie qu'il comprenne, tu n'as pas envie qu'il y soit mêlé et qu'il soit obligé de faire des choix trop difficiles. écoute noah. il y a des choses que tu comprendras en grandissant. mais ne prétend pas que je puisse te haïr. parce que c'est tout l'contraire. tu ne lui as jamais dis que tu l'aimais. seulement lorsqu'il avait été sur la table de l'hôpital -mais inconscient. et ta phrase sonnait comme une déclaration. détournée. mais cela te ressemblait, bien plus. tu le vois là, rester con face à t'es paroles. tu pars alors récupérer les verres, puis tu te diriges dans la cuisine, les posant dans l'évier. là, en sortant, ton frère attrape t'es hanches. non, en faite, il se pose dans t'es bras. un câlin. chose qu'il n'a pas eut venant de ta part depuis presque douze ans. tu ne sais pas comment réagir et c'est après quelques secondes que tu décides enfin de l'entourer de t'es membres. ____________________________________________________________
elle lui sourit après lui avoir dit tout cela. mère présente, aimante. et elle le prend enfin comme un membre de la famille malgré son manque d'information (soif qu'elle assouvira pendant le repas). nous devrions les rejoindre. je t'amènerais dans sa chambre après. enfin, celle quand il était enfant... tu verras oh mon dieu à quel point il a changé. il était si mignon ... et maintenant... elle lui fait une grimace -parce que oui son fils est con et elle le sait, lunatique, homme aux penchants machistes mais pourtant si droit. te voilà dans de beaux draps. elle reprend sa marche en sens inverse, faisant quelques petits commentaires sur les alentours, afin d'expliquer les structures de la maison etc.
poussant la porte les séparant du salon, elle reste alors bouche bée face à la scène. ses deux enfants ensemble. le plus petit, le visage enfouis dans le torse de son aîné, beaucoup trop grand. toi tu ne la capte pas spécialement. elle regarde ton petit ami les yeux brillants. cela fait plus de douze ans que joshua n'a pas été ainsi avec son frère... tu fais des miracles toi. un sourire magnifique, de la reconnaissance discrète, elle s'avance cependant. ses talons te font relever la tête, mais tu ne bouges pas. tu attends simplement que ton frère décide de te lâcher -tu lui caresses juste le haut de son dos. tu as survécus mon ange ? un sourire taquin, tu espères juste que cela se soit bien passé. noah te lâche enfin, non honteux de tout cela. plutôt heureux. le cœur gros. va chercher ton père noah. nous passons à table. il s'exécute sans rien dire. elle, passe dans la cuisine. alors toi, tu profites pour retrouver ta moitié. tu passes ta main sur sa hanche, le rapprochant un peu tout en embrassant ses lèvres. vous étiez seuls, autant en profiter, oui. elle t'a pas bouffé ? tu passes ta main sur sa joue. tu l'aimes. et grand dieu tu te sent toujours plus soulagé en le voyant à t'es côtés.
Aomine Shinzô
james franco
le blaze : joe le taxi, orz depuis : 29/05/2016 bullsheit : 180 points : 722
# Re: toi, moi et tes parents (joshua) - Mar 16 Aoû - 22:30
toi, moi et tes parents feat. joshua bae sadaaki
tenue ☾ entendre les paroles qu'elle te chante te fait du baume au coeur. finalement, tu as réussi à passer le test de la mère. maintenant tu sens que le plus dur restera à venir. un grand sourire accompagne ton inclinaison devant elle. malgré tout, tu ne sais pas si ce que tu lui a dit lui évoque une sensibilité naturelle ou calculé. une grimace accompagne tes doutes, que tu caches et tournant la tête légèrement sur le côté dès lors où elle quitte votre contact. nous devrions les rejoindre. je t'amènerais dans sa chambre après. enfin, celle quand il était enfant... tu verras oh mon dieu à quel point il a changé. il était si mignon ... et maintenant... hm! joshua est toujours aussi mignon, ça dépend du point de vue. moi je le trouve mignon et beau en tout cas. un voile se dépose sur tes yeux. un voile te remémorant les diverses fois où tu as pu t'enfouir dans ses bras tard la nuit parce que tu n'arrivais guère à dormir seul dans ta chambre si froide. mais les talons claquant contre le sol te fait sortir de ta torpeur et tu hoches la tête en pressant le pas derrière elle. non pas que joshua te manque mais tu trouve que c'est la seule tête avec qui tu peux te retrouver sans avoir peur de faire des écarts. parce que lui, il aime les écarts de conduites. ton rire discret s'évanouit cependant quand tu sens la mère s'arrêter dans votre course. par ce mouvement statique, tu n'as que le choix de relever la tête pour comprendre alors ce qui la dérange si facilement. la silhouette de joshua ne t'es pas familière mais dans cette posture.... si. tu arques d'abord un sourcil avant d'écouter avec attention ce que la mère peut légender à ce tableau. cela fait plus de douze ans que joshua n'a pas été ainsi avec son frère... tu fais des miracles toi. tout d'un coup, l'atmosphère change et les couleurs qu'alors tu n'avais pas su voir, jaillissent devant toi ; joshua avec son frère serait donc une image très rare. tu souris doucement sous la dernière phrase de la mère avant de secouer ta main devant toi pour signifier que non, ce n'est évidement pas toi qui fait des miracles. la famille sadaaki s'éparpille alors et il ne te reste plus que joshua que tu accueilles allègrement, redressant ton menton vers son visage. ta mère est adorable. c'est la seule explication que tu lui donne avant de soupirer ton aise dans votre baiser. elle a dit que j'vais avoir des putains de dossier sur toi tout à l'heure. mais j'aimerais tellement parler à ton p'pa! ton rire s'échappe et sépare vos lèvres tandis que tes doigts caressent comme une plume sa mâchoire saillante. malheureusement, quand tu vins à vouloir lui donner encore plus de ta tendresse, les autres membres de la famille se rassemble autour de la table et tu te dois de les rejoindre avec joshua. tu l'embrasses subitement mordant sa lèvre inférieure avant de les rejoindre tous dans le salon, maintenant les doigts de ton amant dans ta main.
vous voilà ainsi assis, attablés devant le repas que la femme de ces appartements vous présente enfin. tu t'avoues que ce n'est pas plus mal que le repas arrive maintenant puisque tu commences à peine à avoir faim. puis toi et la nourriture c'est un couple qui dure depuis ta naissance. en tirant un peu plus ta chaise à la table, tu te heurte à l'un des pieds de la table et ton couinement n'attend pas d'ordre pour sortir. tu t'incline doucement t'excusant de ton petit bruit en souriant. posant ta main discrètement sur la cuisse de ton voisin, tu souris au gens autour de vous et t'arrêtes sur la silhouette du père. une grande allure viril, froide et forte. comme si l'essence même de la confrontation provient de ce genre d'énergumène. ça te turlupine depuis un bon moment maintenant, ça te brûle même les lèvres. tu as envie d'en savoir plus et si possible que ce froid glacial ce propageant de plus en plus à table s'évapore par ses paroles. je... tout le monde se tourne vers toi. le stress. la démesure de ta raison à ton coeur. vous avez une femme magnifique et... votre maison est très jolie j'ai pu comprendre les alentours ainsi que la structure et c'est superbe. ton sourire peu à peu se mord dans tes dents. un sentiment que tu n'aurais pas dû s'émerge à l'intérieur de toi. au fur et à mesure tu le nourris par la peur de ta phrase. si ça se trouve tu n'aurais pas dû lui parler et pourtant tes yeux n'arrêtent pas de le capter avant de rependre un autre point sur la table comme angle pour ton regard.