⚜⚜⚜ un sourire t'échappe alors quand tu sens le doigt expert de joshua passer sur tes joues bien humides. tu le fixes parce que tu aime contempler son visage quand il est proche du tiens. comme si tu photographie chaque parcelle de son épiderme, le soulignement de certaine rides quand il sourit rarement. mais la distance est bien trop infime pour ne pas tenter ton petit-ami qui se rue à nouveau contre tes lèvres, développer ainsi un caractère d'envie que tu arrives bien à comprendre. ses mains, tu les sens glisser jusqu'à tes reins pour te rapprocher un peu plus malgré que tes bras se soient abaissé pour que tes mains puissent se poser sur son torse. sans forcer, ses battements résonnent au creux de tes paumes. et avant même de dire quoique ce soit d'autres mise à part un hoquet de surprise, tu t'agrippe de nouveau à son cou car tu te sens voler. quelques secondes plus tard, tu arrives à destination et ton fessier rencontre le bois vernis de la table. en arquant simplement un sourcil de part l'adversité que fais preuve joshua, tu ne trouves plus rien à ajouter ou faire mise à part agripper ses hanches et sa nuque enfouissant alors ta tête contre sa nuque. seulement des couinements dépasse la barrière de ta gorge dès que tu sens les dents lacérées de joshua s'acharner sur ta nuque que tu tends par réflexe. c'est bien grave d'arriver à un point où rien ne peut sortir d'entre tes lèvres que des gémissements inaudibles. ta lèvre se fait mordre par tes dents où tu ne trouve qu'au rôle que celui d'essayer de te calmer jusqu'à ce que tu entende le cris de ta délivrance. pardon mais sa respiration dans ton cou te donne plus que de la chaire de poule. tu soupires et le pousse doucement, assez pour que sa peau brûlante ne taquine plus ta peau fragile. tes yeux dans les siens, tu lui souris doucement en ne te décidant toujours pas de descendre de ta hauteur. ce serait une plus sage décision mais tu n'écoute guerre le cri de ta raison et réponds à l'appel de ton coeur qui bat à mille à l'heure. pourquoi tu t'excuse? c'est normal. pour une fois que ces mots là sortent naturellement de toi. tu lui souris à nouveau faisant naître une autre nuance dans tes yeux ; l'appétence. agrippant alors furieusement son t-shirt au niveau de son torse, tu le tire de nouveau vers toi pour le confronter au bord de la table. gardant toujours ce jeu du regard, tu fermes les yeux en espérant retrouver une respiration habituelle et bascule en arrière pour t'allonger. petit à petit, la chaleur de la pièce a raison de toi et tes mains grimpent jusqu'au premier bouton de ta chemise en jean pour les ouvrir et fur et à mesure. toi qui n'a alors aucune libido tu sens comme une onde électrique s'activer entre tes reins. tu respires difficilement et tu sens que, si tu te rapproche de joshua tu pourras à nouveau te sentir vivant. alors, en te relevant tu te colles à lui te happant la respiration quand vos lèvres se rencontrent finalement. tes doigts se perdent dans le tableau blond clair de ses cheveux. ton coeur chante contre celui de joshua. et ta démesure se noie dès que tu sens ta chaleur imiter la sienne. sous la vague houleuse de toute cette agitation mondaine, tu glisses ta main de sa nuque à la boucle de sa ceinture n'oubliant pas de griffer son torse tentateur. de sa mortelle et douce envie à la fois il t'entraîne avec lui que la réflexion ne vient plus à l'esprit. tu tires un peu sur sa ceinture pour la retirer complètement afin de pouvoir y défaire le reste et de passer tes doigt dans son pantalon. un gémissement s'émerge entre vos deux lèvres que tu sépares sadiquement quand tu relèves ton menton. je t'aime, joshua. la douceur de tes mots palis avec la vulgarité de ta main dans son vêtement et pourtant tu sais que c'est apprécié par ton petit-ami. amant que tu n'oublies pas de faire plaisir dans cette complainte.
⚜⚜⚜ pourquoi tu t'excuse? c'est normal. Et il pleure encore, la disparition de son âme au travers des lèvres mielleuses de son amant. La surprise, un battement loupé -l'amertume du désir et le plaisir consumé que l'on se plaît à retrouver. Lui s'excusant, habitué à être rejeté et pourtant non en mal. Le respect des choses, l'adaptation. Tiré sauvagement contre le second, un léger hoquet de stupeur mais de souffrance intérieure, par le manque, par l'envie -par la luxure incomprise, indomptée qui laisse au creux de ses reins un sentiment avide. Il le regarde, le provoque -ne peut s'empêcher de toucher à ce corps parfait. Le cadet s'allonge, sous les pupilles du second, qui se délecte de la scène, ses doigts longeant ses cuisses ; admirant ses courbes. -ses hanches, mises à nu. Partie de son corps qu'il aime peut-être le plus. Lorsque le peintre se relève, le musicien le rattrape, passant alors ses doigts sur sa peau découverte. Sa chaleur -ses baisers, le canalisent et c'est à cet instant qu'il se mit à maudire le monde, de lui avoir mis entre les mains un être si idyllique -dont il profitera pour son plus grand plaisir. je t'aime, joshua. Mains baladeuses, excentriques et légères, le dominant retourne dans le cou de sa proie qui, le torturant lui arrache un énième soupire. Les sensations se bousculent, se mélangent aux frissons et envies procurées. Tout, se mélange, tout lui fait mal ; lui fait du bien et grand dieu il se perd, dans cette immensité tant désirée.