Katô Neolike a virgin (jf) le blaze : j'aime pas le blaze orz depuis : 28/06/2016 bullsheit : 24 points : 120
| # (ren) i'm a ruin - Sam 20 Aoû - 22:22 Les cours ennuyants, qui se succèdent. Les uns après les autres. Quitte à venir perdre son temps dans cette université, il aurait préféré prendre les mêmes matières que l’autre. Cela l’aurait au moins amusé quelque peu. Mais au final, cela ne servirait à rien. Ce con, en plus d’être plus jeune que lui, avait un retard conséquent. Neo lâche un soupir, lourd. Son regard s’attardant sur le professeur. Quelques secondes, seulement. Avant qu’il ne soit détourné vers l’horloge. Bien plus attrayante et intéressante. Il continue ainsi, pendant tout le reste du cours. Alliant entre soupirs blasés et regard furtifs en direction de l’heure.
Jusqu’à la fin. Enfin. Il s’étale de manière peu élégante contre la chaise. Vendredi. Il avait tout le weekend devant lui. Il pouvait bien se permettre quelques excès ce soir. Par ça, il veut évidemment dire plus que d’habitude. Parce que sa vie n’était faite que de ça. Il reçoit une invitation de ses deux frères à une fête de leur fraternité, qu’il décline simplement. Il a d’autres plans en tête. Plus amusants. Pour lui du moins. Neo rentre chez lui le temps de se prélasser un peu dans sa chambre et changer de vêtements. Il pourrait simplement lui envoyer un message et lui demander de le rejoindre. Mais, non. Il préfère le faire personnellement. Par téléphone, c’est bien plus facile de se défiler. De tenter de faire le dur. Il sourit. Il a le droit d’entrer dans n’importe quel dortoir et ne se gêne pas pour user de se droit. Se frayant un chemin, discrètement, dans les couloirs et enfin dans la chambre qu’il connaît parfaitement. La porte n’est pas verrouillée. Et c’est tout aussi silencieusement qu’il se glisse derrière le jeune homme.
« Bonsoir, bébé. » susurre-t-il à son oreille, ses mains glissant doucement sur les bras du garçon assis. Il aime sa peau, beaucoup trop douce pour un homme. Son corps, élancé et svelte. Presque trop grand. Il aime, plus encore, le sentir à sa merci. « Je t’ai manqué, j’espère. » Ses lèvres remontent jusqu’à ses cheveux, déposant un simple baiser sur le sommet de son crâne. « Habille-toi, on va sortir. » sa voix est basse, presque inoffensive. Pourtant, elle garde ce ton autoritaire. Il n’accepte que les réponses qu’il a envie d’entendre. |
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